Le blog de actus

ZoomLes utilisateurs de Free Mobile auront certainement remarqué, pour une partie d’entre eux, que les appels passés à partir d’une ligne de l’opérateur mobile peuvent connaître quelques problèmes, et parfois ne pas aboutir. Devant les plaintes de plus en plus nombreuses de la part des ses abonnés, Free Mobile a indiqué être conscient de ce problème et y travailler sérieusement.

Interrogé par nos confrères de PC Inpact, Free Mobile a bien reconnu l’existence d’un problème sur son réseau detéléphonie mobile. L’opérateur le prend d’ailleurs très au sérieux, et annonce vouloir « ajouter de la capacité » à son réseau pour palier à ces problèmes.

Free veut résoudre les problèmes au cas par cas, rappelant que si n’importe qui en France peut y être confronté, ils ne seraient pas localisés et dépendraient des régions. L’opérateur n’a toutefois pas précisé les raisons techniques qui ont mené à ces problèmes, bien que certains soupçonnent évidemment un fort engorgement de son réseau aux heures de pointe.

Source: http://www.tomsguide.fr/actualite/free-mobile,2977.html

Crédit : The Verge

L’iPad n’est pas encore officiellement en vente que ses manques sont déjà pointés du doigt par les utilisateurs. Ainsi, le site The Verge a tenté de lancer l’application FaceTime en 4G (LTE) : impossible de se connecter. L’application de chat vidéo fait apparaître un message engageant l’utilisateur à se connecter à un réseau WiFi.

Le site américain a mesuré qu’un appel FaceTime « pesait » environ 3 Mbit/s, soit une capacitélargement envisageable pour la LTE, qui peut atteindre jusqu’à 300 Mbit/s en download, et 80 Mbit/s en upload. Rappelons que lors de la présentation de FaceTime en 2010, Steve Jobs avait affirmé qu’Apple travaillait avec les opérateurs pour rendre son logiciel compatible avec la data, ce qui n’est toujours pas le cas.

Source: http://www.tomsguide.fr/actualite/4G-LTE-iPad-FaceTime,2967.html

Les possesseurs de l’iPhone 4S devraient être d’accord là-dessus : Siri ne fonctionne pas toujours comme prévu, et surtout pas comme il est présenté dans les publicité d’Apple. Un homme a donc récemment décidé de poursuivre la firme de Cupertino pour publicité mensongère au sujet de son assistant personnel.

Le new-yorkais Frank M. Fazio a décidé de poursuivre Apple pour publicité mensongère concernant Siri dans une plainte déposée à la cour du district de San Jose. L’homme affirme en effet que l’assistant personnel de la firme ne fonctionne en aucun cas tel qu’il est présenté dans les spots commerciaux d’Apple.

Ces publicités présentent Siri comme capable de gérer des rendez-vous, trouver des restaurants et renseigner sur la manière d’enfiler une cravate. Fazio affirme que ces dernières sont complètement fausses et trompeuses, puisque Siri “ne fonctionne pas du tout comme il y est présenté”.

L’homme va même encore plus loin, affirmant que sans Siri, l’iPhone 4S coûte en plus de cela beaucoup plus cher que l’iPhone 4, et explique que s’il a décidé d’acheter l’iPhone 4S l’année dernière, c’est parce qu’il a été impressionné par les publicités sur l’assistant personnel. Juste après son achat, celui-ci a cependant découvert que Siri ne fonctionnait pas du tout comme il s’y attendait dans la vraie vie.

Fazio a lancé son accusation en faisant appel au recours collectif, ce qui implique que si d’autres personnes décident de poursuivre Apple, celles-ci seront directement inclues dans cette même plainte. Vous pouvez retrouver cette dernière dans son intégralité sur le blog du Wall Street Journal. La firme de Cupertino n’a pas souhaité communiquer au sujet de cette poursuite.

Vous possédez l’iPhone 4S équipé de Siri ? Quel est votre avis sur ce dernier ? Pensez-vous qu’Apple en fait effectivement un peu trop dans ses pubs ?

Zoom

Référence dans le domaine du mobile et sur tablettes, Android pourrait bien s’attaquer prochainement au secteur des appareils photo numériques. Selon Engadget, Samsung songerait actuellement à un appareil de ce type, doté d’une version modifiée de l’OS de Google. Logiquement, le futur APN du constructeur coréen intégrerait le WiFi afin de rendre l’appareil connecté et de pouvoir partager ses photos sur les différents réseaux sociaux. 

« Nos réfléchissons à Android parce que nos smartphones sont également sur Android », explique un porte-parole du fabriquant. Outre les possibilités de partage de photos, Samsung miserait sur les possibilités de retouche photo directement sur son APN, à l’image des nombreuses applications dédiées actuellement proposées sur Android ou iOS.

Pour rappel, lors de notre dossier sur les idées reçu sur le futur de la photo, deux experts s’étaient exprimés en faveur d’une telle avancée. « Imaginez un appareil sur lequel vous pourrez installer une application pour profiter de fonctions Nikon, mais également d’installer des applications Fuji ou Canon, afin de façonner son propre appareil ! » s’enthousiasmait Luc Saint-Élie, responsable de la communication chez Panasonic/Lumix.

« Avec le numérique, l’ère des fabricants de photo a laissé la place à celle des fabricants d’images. Pour le moment il y a un fort besoin de paternité de la part des constructeurs d’appareils, qui veulent garder un contrôle de l’image. Mais avec le temps, les fonctionnalités vont se mutualiser, j’en suis persuadé », expliquait lui Thomas Maquaire, chef de produit Reflex Pro chez Nikon.

ZoomLes cinq grands opérateurs historiques européens se seraient-ils entendus pour ne pas se concurrencer ? C’est le sujet sur lequel pourrait porter une enquête de la Commission européenne qui rassemble pour le moment les premiers éléments. Dans le cadre de cette enquête préliminaire, la Commission a déjà demandé plusieurs informations à la GSMA, l’association internationale représentant les opérateurs. Du côté de l’Europe, aucune confirmation n’a été faite de cette information révélée par le Financial Times. 

Si les premiers éléments montrent des indices valables, la Commission pourrait donc ouvrir formellement une enquête pour entente monopolistique entre Deutsche Telekom, France Télécom, Telecom Italia, Telefonica et Vodafone.

Au centre des doutes, une série de réunions baptisée E5 entre ces opérateurs. Depuis octobre 2010, ils ont en effet pris l’habitude de se rencontrer pour discuter des grandes évolutions en terme d’usages et de réseau. Certaines harmonisations en sont sorties comme celles concernant des choix de plateformes technologiques ou encore le paiement mobile. 

Toutefois la Commission européenne, qui avaient été prévenue par les opérateurs de ces rencontres, semble émettre quelques doutes quant à leur bien fondé. A elle désormais d’établir s’il y a eu collusion ou non. En 2007, la justice française avait condamné Orange, SFR et Bouygues Telecom pour entente illicite entre 2000 et 2002. Les opérateurs avaient du régler une amende de 534 millions d’euros.

Source: http://www.tomsguide.fr/actualite/enquete-operateurs,2962.html